Astuce pour protéger les pièces d’identité que vous envoyez par Internet
18 mars 2025
Envoyer des documents personnels pour louer un logement ou obtenir un crédit n’est pas sans danger. Heureusement, il existe une méthode simple et gratuite pour limiter les risques d’un usage détourné.
La numérisation des documents et des échanges a rendu de nombreuses démarches beaucoup plus faciles et rapides, mais a également créé de nouveaux risques. Que ce soit pour louer un logement ou un véhicule, faire une réservation pour un voyage ou souscrire un contrat de service quelconque, il faut souvent transmettre des pièces justificatives et des documents administratifs sensibles. Carte d’identité, passeport, avis d’imposition, justificatif de domicile ou encore relevé d’identité bancaire (RIB), vous devez régulièrement fournir ces précieux documents à des tiers, sans savoir exactement ce qu’ils vont en faire.
Trop souvent malheureusement, les documents transmis sont conservés de façon non chiffrée sur des ordinateurs ou des dispositifs de stockage plus ou moins sécurisés, et peuvent alors faire l’objet d’une fuite de données, comme celles qui font régulièrement la une des médias. Parfois, les destinataires sont même des acteurs malveillants, qui utilisent les plateformes de services et les réseaux sociaux pour poster de fausses annonces et ainsi récolter des documents sensibles.
Dans tous les cas, une fois envoyés, ces documents échappent totalement à votre contrôle et peuvent très facilement être détournés à des fins malveillantes ou illicites. Parmi ces utilisations frauduleuses, on pense évidemment à l’usurpation d’identité, par laquelle un escroc peut ouvrir des comptes bancaires ou souscrire des emprunts en votre nom, ce qui peut avoir des conséquences dramatiques sur votre vie. Mais d’autres documents en apparence moins sensibles présentent également des risques : avec votre RIB, une entreprise malintentionnée peut par exemple facilement mettre en place un prélèvement automatique, dont vous ne vous apercevrez pas immédiatement, et ainsi vous ponctionner d’importantes sommes d’argent sur le long terme.
Filigranefacile
Pour limiter ces risques et compliquer la tâche d’éventuels escrocs, une bonne pratique est d’apposer systématiquement un filigrane sur les documents numériques que vous transmettez. Bonne nouvelle, les pouvoirs publics ont justement mis en ligne un service totalement gratuit et sécurisé pour le faire : FiligraneFacile. Très simple d’emploi, ce service permet à tout le monde, sans compte et sans inscription, d’intégrer des filigranes sur des documents personnels avant de les envoyer. Il suffit de téléverser les fichiers concernés sur la page, d’écrire le texte à insérer en tant que filigrane, puis de télécharger les documents ainsi modifiés au format PDF.
Certes, cette méthode de protection n’est pas infaillible et les filigranes peuvent être retirés avec certains outils informatiques, mais elle a le mérite de rendre plus difficile le détournement de ces documents sensibles, ce qui découragera une bonne partie des escrocs, et de signaler au destinataire le caractère confidentiel des éléments transmis. L’utilisation de FiligraneFacile étant simple, rapide, gratuite et sécurisée, il s’agit donc d’une bonne habitude à prendre, qui pourrait éviter bien des problèmes et dont il serait dommage de se priver.
Le RCS n’est pas encore déployé complètement et n’est pas compatible avec les anciens appareils.
En matière de télécommunications, un nouveau protocole baptisé RCS est mis en œuvre peu à peu sur les smartphones et pourrait remplacer les SMS et MMS.
Quelle différence et quels changements pour les abonnés ?
Le RCS (pour « rich communication service ») est un nouveau protocole de messagerie sur les smartphones qui permet de prendre en charge du texte sans limite de longueur (contrairement aux SMS limités à 160 caractères) et d’envoyer des contenus multimédias en haute définition ou animés.
• La possibilité de créer des groupes de conversation
Il offre également la possibilité de créer des groupes de conversation (comme sur WhatsApp) et de passer des appels vidéo. La sécurité est assurée par un chiffrement de toutes les discussions.
Contrairement à WhatsApp, Messenger ou Telegram, le RCS a été développé à l’initiative de la GSMA, une association internationale de professionnels de la téléphonie mobile. Il ne nécessite pas de téléchargement et est accessible directement sur le téléphone mobile. En outre, aucune donnée utilisateurs ne transite sur des serveurs d’entreprises privées.
• Par internet et pas par le réseau mobile
Ce protocole est accessible sur iPhone XR ou ultérieur et sur Android à partir de la version 5.0. Les principaux opérateurs de téléphonie gèrent le RCS (Orange, SFR, Bouygues Télécom et Free mobile), mais ce n’est pas toujours le cas des fournisseurs alternatifs – comme La Poste Mobile, qui ne le propose pas à l’heure actuelle. Sur les nouveaux modèles, l’option est souvent activée par défaut – d’ailleurs, il est possible de l’utiliser sans s’en rendre compte. Il est toutefois repérable dans la barre de messagerie qui indique “Message RCS”.
À noter que la particularité du RCS est qu’il ne transite pas par le réseau mobile, contrairement aux SMS, mais par une connexion internet (4G, 5G ou Wi-Fi). Ainsi, une enveloppe de data peut s’avérer nécessaire ; attention donc à la consommation de données, en particulier à l’étranger, car elle peut faire grimper la facture en cas de dépassement.
• Est-ce la fin du SMS ?
Bien que l’usage du SMS soit en déclin, il ne devrait pas disparaître. En effet, le RCS n’est pas encore déployé complètement et n’est pas compatible avec les anciens appareils. De plus, l’usage du SMS demeure très utile dans certaines circonstances – zones dépourvues d’accès à internet, envoi de code de sécurité par les banques… –, sans compter que tous les abonnés ne sont pas toujours pourvus d’une couverture data suffisante. Le SMS reste donc indispensable pour les personnes qui disposent d’un forfait limité.
Enfin, pour désactiver le RCS et conserver le système des SMS-MMS, il suffit d’ouvrir l’application “Messages”, cliquer sur l’icône de profil en haut à droite, se rendre dans les paramètres, cliquer sur “Chats RCS” et désactiver l’option.
Publier par la Chambre de consommation d’Alsace et du Grand Est site internet : www.consommer-aujourdhui.fr
Dans le menu Fichier cliquez sur Réglage du document
Dans attributs du document
Cliquez sur ajouter
Double cliquez sur Nom et mettre TOC
Cliquez sur OK
Attributs document
Ajoutez un cadre texte sur la page pour la table des matières. Dans les propriétés donner comme nom « TOC ou TDM… » ceci pour le retrouver plus facilement dans le plan du document
Propriete plan du document
Dans fichier > Réglages du document, Table des Matières
Cliquez sur ajouter
Renommer « Table des matières 1 » en TOC
Nom de l’attribut TOC
Cadre de destination TOC
Cliquez sur OK
Reglage table des matieres
Faite un clic droit sur les cadres à mettre dans la table des matières
Dans attributs cliquez sur ajouter
Dans le champ « Nom » choisir TOC
Dans « Valeur » mettre le texte qui apparaitra dans la table des matières
Cliquez sur OK
Attributs cadre texteAttributs des cadres
Dans le menu « Extra » cliquez sur générer la table des matières
Ils ont des techniques toujours plus sophistiquées et de plus en plus de personnes se retrouvent victimes de leurs escroqueries.
Lors du démarchage
À domicile, par téléphone ou même via les réseaux sociaux, le faux courtier se fait passer pour un courtier travaillant pour une société connue du rachat de crédits. Il instaure ainsi un climat de confiance. D’ailleurs, il détient souvent des informations sur sa victime (identité, crédits détenus, bulletins de salaire…) récupérées illégalement.
La promesse de gain
Le faux courtier fait miroiter un rachat de crédits pour réduire de façon importante le coût des crédits détenus. La promesse d’économie est tentante, via un taux attractif, un contre-remboursement, une compensation par crédit d’impôt.
Comment se déroule l’escroquerie :
Demande de documents personnels Le faux courtier demande à la victime de lui transmettre des documents personnels (copie du contrat de crédit, pièces d’identité, copie de l’avis d’imposition…).
Souscription à un crédit Le faux courtier souscrit alors un nouveau crédit au nom du client, à l’aide des différents documents fournis.
Demande d’effectuer un revirement Une fois le prêt accordé et les fonds versés sur le compte de la victime, le faux courtier lui demande d’effectuer un revirement sur un autre compte au prétexte de rembourser le premier crédit.
Disparition Le faux courtier disparaît sans laisser de trace. La victime se retrouve avec un nouveau crédit à rembourser, en plus des précédents.
Adoptez les bons réflexes pour sécuriser vos informations en ligne
Comment vous protéger ?
Méfiez-vous toujours des offres trop belles pour être vraies et des solutions faciles à obtenir.
Si vous recevez une offre de prêt d’un organisme de prêt, cela doit faire suite à une demande de votre part.
Ne communiquez jamais vos données personnelles et documents privés de façon non maîtrisée. Si vous avez un doute sur une demande reçue par mail ou après un échange téléphonique, contactez votre organisme de prêt.
Il est anormal et même suspect qu’un tiers vous demande de lui reverser les fonds que vous venez de recevoir. Un organisme de prêt peut vous demander un transfert de fonds dans un seul cas : solder votre crédit par anticipation. Le virement se fera alors de votre compte bancaire vers votre compte lié à l’organisme de prêt.
C’est une technique frauduleuse destinée à leurrer l’internaute pour l’inciter à communiquer des données personnelles et confidentielles, en se faisant passer pour un tiers de confiance. Il peut s’agir d’un faux mail, d’un faux SMS ou d’un faux appel téléphonique semblant légitime.
Le fraudeur vous incite, souvent avec un caractère urgent, à cliquer sur un lien ou une pièce jointe qui sont malveillants, ce qui peut :
• Permettre le vol et / ou la fuite de vos données confidentielles, afin de réaliser des actions frauduleuses en utilisant vos données. Le fraudeur peut par exemple réaliser des transactions bancaires en se connectant sur votre compte ou en utilisant votre carte bancaire. Il peut également se faire passer pour vous auprès d’un conseiller.
• Conduire à l’installation d’un malware ou d’un ransomware sur votre ordinateur.
Adoptez les bons réflexes pour sécuriser vos informations en ligne
Régulièrement, pensez à :
Assurez-vous que votre interlocuteur est légitime et interrogez-vous sur ses intentions.
Prenez le temps de réfléchir avant de réaliser un paiement ou de transmettre des informations personnelles : ne communiquez jamais vos codes, mots de passe et identifiants bancaires, même à votre banque qui ne les demande jamais.
Si vous avez un doute sur l’identité de votre interlocuteur, contactez-le par les moyens que vous utilisez habituellement.
Si l’offre vous semble trop belle, il y a certainement une arnaque derrière.
La fraude par ingénierie sociale
Comprendre les techniques utilisées par les fraudeurs pour obtenir votre confiance et vos informations. Apprenez à détecter les pièges et à réagir en toute sécurité
Hameçonnage ou Phishing Il s’agit d’une fraude qui exploite des tactiques incluant des emails, des sites Web et des messages textes trompeurs dans le but de voler des informations personnelles ou confidentielles.
Harponnage ou Spear Phishing Il s’agit d’une fraude qui utilise les emails qui semblent familiers et dignes de confiance, pour mener des attaques ciblées contre des individus et des entreprises.
Hameçonnage vocal ou Vishing Le vishing se sert d’arnaques vocales pour conduire les victimes de fraudes à faire des choses qu’ils pensent être dans leur intérêt en imposant un sentiment d’urgence. Exemple : message vocal incitant à réinitialiser ses informations bancaires parce que son compte a été piraté.
Appâtage Cette fraude se base sur le désir humain de récompense. Elle peut survenir en ligne ou en personne et promettre quelque chose à la victime en échange d’une action, comme de télécharger une pièce jointe en l’échange d’un gain.
Attaque de point d’eau ou Water-Holing Cette fraude cible un groupe d’utilisateurs ainsi que les sites web qu’ils visitent fréquemment (réseaux sociaux). Le fraudeur explore ces sites web à la recherche d’une faille de sécurité puis l’infecte par un maliciel. L’un des membres du groupe ciblé est alors éventuellement contaminé par ce maliciel.
Prétexter ou Pretexting Technique qui utilise une fausse identité pour amener les victimes à partager des informations. Exemple : le fraudeur envoie un email en prétextant être un représentant du service clientèle qui a besoin de confirmer ses informations bancaires.
Maliciel ou Malware Programme qui infecte votre système informatique (PC, serveurs, appareil mobile).
Il permet souvent au fraudeur de réaliser des actions malveillantes, tel que récupérer vos données personnelles ou de les chiffrer, afin de vous demander une rançon pour les débloquer. C’est également une porte d’entrée qui permettra au fraudeur de réaliser d’autres actions à votre insu.
Maliciel = Abréviation de « logiciel malveillant ». Il s’agit d’un logiciel conçu et créé dans le but d’endommager un appareil ou causer du tort à son utilisateur.
Les bons réflexes
Restez vigilant et découvrez comment sécuriser vos données personnelles
Régulièrement, pensez à :
Mette à jour votre anti-virus pour être protégé plus efficacement.
Utiliser une connexion Wi-Fi privée et non les Wi-Fi publics (restaurants, hôtels, transports…).
Utiliser l’authentification forte lorsque celle-ci vous est proposée.
Utiliser toujours des mots de passe complexes d’au moins 14 caractères.
Privilégier l’accès direct à vos comptes via le site internet ou l’application mobile de votre banque ou organisme financier.
Utiliser directement l’url de l’organisme financier pour accéder au site ou utiliser l’application de l’organisme financier pour gérer vos crédits
Restez constamment vigilant et en particulier :
Si votre mot de passe vous est demandé par mail ou téléphone : Ne le communiquez jamais.
Si vous êtes incité à ouvrir une pièce jointe dans un mail ou SMS : Ne l’ouvrez jamais si cette pièce est non sollicitée ou semble douteuse. Ne cliquez jamais sur un lien dont vous ne connaissez pas l’origine.
S’il vous est demandé la transmission de données personnelles : Evitez de diffuser votre adresse mail au risque d’en perdre le contrôle. Ne transmettez jamais de données confidentielles et personnelles ou de documents privés.
Si un soi-disant courtier vous contacte : Ne reversez aucun fonds que vous venez de percevoir à un tiers. Méfiez-vous toujours des offres urgentes et trop attractives.
Un service Fraude inconnu vous contacte : Ne transmettez jamais d’information personnelle par téléphone ou par mail. Passez toujours par la messagerie de l’application mobile ou du site internet de votre banque ou organisme financier. N’agissez jamais sous l’urgence, vérifiez l’origine de l’appel ou l’expéditeur du mail. Demandez des précisions ou raccrochez.
A l’ouverture de Scribus une fenêtre de réglage du document (Figure 1) s’ouvre, qui vous propose de régler le format du document et son orientation ains que les marges interne.
20 mm à gauche et à droite, 10 mm en haut et 5 mm en bas.
Notez que si les quatre champs sont chainés, le fait de saisir 20 mm dans l’un deux appliquera automatiquement cette valeur au trois autres. Pour désactiver, brisez la chaine d’un clic dessus.
Notre document ne comportant qu’une page il est inutile de modifier les autres réglages.
Figure 1 – Paramétrage du document A4
Bibliothèque de couleurs
Définition des couleurs spécifique a notre document par l’intermédiaire de la bibliothèque de couleur (Figure 2) accessible par le menu EDITION > COULEURS ET FONDS.
Figure 2 – Paramétrage de la bibliothèque de couleurs
La bibliothèque de couleurs est l’espace unique de gestion des différentes couleurs du document. Elle contient une liste de couleurs de base, et il est possible d’en créer de nouvelles (1), d’en modifier les valeurs (2) ou d’en supprimer (3) avec une option permettant même de supprimer automatiquement les couleurs non utilisées (4) du jeu de couleurs (5).
Scribus propose en plus l’ajout par fusion d’un grand nombre de palettes supplémentaires accessibles par la liste déroulante (6).
Notre document utilisera qu’une seule couleur supplémentaire dont les valeurs figurent ci-dessous.
Nom : Fuchsia Valeurs de couleur : C = 0% M = 94,7% J = 3,3% N = 6,1%
Figure 3 – Valeurs de couleur
Guides magnétiques
Il existe différentes méthodes pour positionner précisément des objets dans une page, la plus courante et la plus pratique étant certainement l’utilisation de repères.
Les repères sont des lignes que l’on peut placer horizontalement ou verticalement et qui, couplées au magnétisme, facilitent le positionnement, l’alignement et la répartition d’objets au sein d’une page. Analogues au trait de crayon que l’on utilise pour marquer la position d’un perçage sur un mur, les repères ou guides sont des outils de construction qui n’apparaissent évidemment pas à l’impression.
Les repères sont utilisables par clic droit maintenu enfoncé depuis les règles du document. Toutefois, pour gagner en précision, il est préférable de les éditer directement dans la fenêtre de dialogue : PAGE > GESTION DES REPERES autorisant l’ajout ou la suppression de repères horizontaux et verticaux, la possibilité d’appliquer les réglages à toutes les pages et de les verrouiller afin d’éviter de les déplacer par inadvertance à la saisie d’un objet.
Nous utiliserons pour notre document trois repères dont les valeurs sont indiquées sur la figure 4.
Figure 4 – Paramétrage des repères du document
Le magnétisme est une option qui accroche un bloc dès que celui-ci arrive à proximité d’un repère ou d’une ligne de grille. L’option du menu PAGE > REPERES MAGNETIQUES soit cochée.
Introduction au cadre de forme
La composition graphique est un assemblage subtil de formes géométriques, de couleurs, de superpositions permettant la mis en valeur d’un texte ou d’une image. Scribus dispose d’une bibliothèque de formes relativement complète (rectangle, ellipse, flèche, polygone, arc de cercle, etc.) et nous allons nous en servir pour réaliser le logo.
Pour créer un rectangle, nous sélectionnons dans la barre d’outils l’objet FORME puis nous effectuons un clic gauche que nous maintenons enfoncé tout en déplaçant la souris pour marquer ses deux angles opposés. L’édition des valeurs de largeur et de hauteur, des valeurs de positionnement, du niveau d’empilement ainsi que des couleurs de fond ou de filet pourra se faire ultérieurement par appel de la fenêtre des propriétés d’un clic droit sur l’objet puis sélection de l’entrée PROPRIETES dans le menu contextuel ou plus directement à l’aide du raccourci clavier F2.
Commençons par créer notre premier bloc avec les valeurs de dimensions, de positionnement et de rotations suivantes :
Point de référence = haut gauche X = -9,5 mm Y = -13,088 mm Largeur = 110 mm Hauteur = 50 mm Rotation = 341°
Figure 5 – Positionnement premier cadre de forme
Puis, en nous rendant tout en bas de la fenêtre PROPRIETES nous avons accès aux options de couleurs. Pour ce rectangle, nous utiliserons la valeur RICHBLACK comme couleur de fond sans couleur de contour comme le montre la Figure 5.
Nous répéterons ces deux étapes pour les quatre blocs suivants.
Notre deuxième bloc sera paramétré avec les valeurs de dimensions, de positionnement et de rotation suivantes et nous lui attribuerons une couleur de fond blanche.
Point de référence haut gauche X = 21,3 mm Y = 19,094 mm Largeur = 62,370 mm Hauteur = 6 mm Rotation = 0°
Notre troisième bloc sera paramétré avec les valeurs de positionnement et de rotation suivantes et nous lui attribuerons une couleur de fond Fuchsia (précédemment définie via la bibliothèque de couleurs).
Point de référence = haut gauche X = 4,2 mm Y = 24,4 mm Largeur = 79,5 mm Hauteur = 1,4 mm Rotation = 0°
Notre quatrième bloc sera paramétré avec les valeurs de dimensions, de positionnement et de rotation suivantes et nous lui attribuerons une couleur de fond Fuchsia.
Point de référence = haut gauche X = 4,2 mm Y = 10 mm Largeur = 15,8 mm Hauteur = 15,8 mm Rotation = 0°
Notre cinquième bloc sera paramétré avec les valeurs de dimensions, de positionnement et de rotation suivantes et nous lui attribuerons une couleur de fond blanche.
Point de référence = centre X = 12,162 mm Y = 17,930 mm Largeur = 13,676 mm Hauteur = 0,5 mm Rotation = 74°
Si ces étapes ont correctement été suivies, vous devriez obtenir notre logotype positionné et superposé comme sur la Figure 6.
Figure 6 – Aperçu du logotype
Introduction au cadre de texte
Chaque style de paragraphe étant particulier à chaque bloc de texte, nous ferons le choix de pas utiliser la bibliothèque de style de Scribus.
Rappelons qu’un cadre de texte est un cadre positionné, dimensionné et non élastique. A ce titre, un contenu occupant plus de place que sont contenant ne le déformera pas. De même, ce contenu ne débordera pas et sera donc masqué ; ce qui se matérialisera par une croix affiché en bas du cadre et d’un avertissement à l’export PDF.
Commençons par créer les trois blocs de textes qui constitueront la partie texte du logotype à l’aide de l’outil CADRE DE TEXTE de la barre d’outils.
Une fois l’option sélectionnée, un simple clic gauche maintenu enfoncé permet la création d’un cadre. Même si la taille et la position pourront être ajustées ultérieurement, essayez d’être le plus précis possible.
Les cadres textes disposent comme les cadres d’objets d’une fenêtre contextuelle affichable par clic droit PROPRIETES (ou via le raccourci clavier F2) dont le premier onglet X,Y,Z permet de gérer placement (1), dimensionnement (avec verrouillage du ratio ou non selon que la chaine est ouverte ou fermée) (2), angle de rotation (3), point de référence (4), options de verrouillage (5) et niveau d’empilement (6) comme le montre la Figure 7.
Figure 7 – Panneau propriétés cadre texte
Le cadre texte se voit attribuer une option spécifique supplémentaire appelé PROPRIETES DU TEXTE affichable par clic droit ou (via le raccourci clavier F3). Cette fenêtre permet une gestion fine du texte et de ces propriétés d’affichage : choix de la fonte (1) et de sa valeur de graisse (2), la taille (3), l’interlignage (4), la gestion de l’alignement (5), un onglet pour la couleur (6), des options de mise en colonnes avec gouttière (7), des options de césure (8), etc.
Figure 8 – Panneau des propriétés de texte
Le panneau d’affichage des propriétés du cadre s’affiche par le biais du raccourci clavier F2 et celui des propriétés de texte à l’aide du raccourci clavier F3.
Le premier bloc de texte Cabinet RH – spécialisée numérique sera positionné avec les valeurs suivantes :
Point de référence = haut gauche X = 21,529 mm Y = 19,9 mm Largeur = 61,912 mm Hauteur = 3,8 mm Rotation = 0°
Ainsi qu’avec les propriétés de texte suivantes :
Alignement : centré Fonte : Bitstream Vera Sans Graisse : Roman Taille : 8,4 pt
Le deuxième bloc de texte Antoli & Bart sera positionné avec les valeurs suivantes :
Point de référence = haut gauche X = 20 mm Y = 25,4 mm Largeur = 66,078 mm Hauteur = 10,834 mm Rotation = 0°
Le troisième bloc de texte contenant l’adresse 203, rue des peupliers 75020 PARIS et contact@antoli-bart.fr sera positionné avec les valeurs suivante :
Point de référence = haut gauche X = 20 mm Y = 37,9 mm Largeur = 64,3 mm Hauteur = 15,7 mm Rotation = 0°
Ainsi que les propriétés de texte suivantes :
Alignement : gauche Fonte : Bitstream Vera Sans Graisse : Roman Taille : 11 pt
Nous passons maintenant à la signature et aux informations de bas de page avec l’ajout de quatre nouveaux blocs de textes.
Le quatrième bloc de texte contenant Lise Antoli sera positionné avec les valeurs suivantes :
Point de référence = haut gauche X = 20 mm Y = 220 mm Largeur = 170 mm Hauteur = 5,5 mm Rotation = 0°
Ainsi que les propriétés de texte suivantes :
Alignement : droit Fonte : Lucida sans Graisse : Italic Taille 12 pt
Le cinquième bloc de texte contenant @Antoli et bart/linkendin.com/antoli-et-bart sera positionné avec les valeurs suivantes :
Point de référence = haut gauche X = 71 mm Y = 279 mm Largeur = 70 mm Hauteur = 5 mm Rotation = 0°
Le sixième bloc de texte contenant 51 rue des Peupliers 75008 Paris – écrire@antoli-et-bart.fr – www.antoli-et-bart.fr sera positionné avec les valeurs suivantes :
Point de référence = haut gauche X = 20 mm Y = 285 mm Largeur = 170 mm Hauteur = 4 mm Rotation = 0°
Llama 3 est la nouvelle génération du grand modèle de langage (LLM) open source de Meta. Voici tout ce que vous devez savoir sur ce modèle d’IA qui positionne Meta AI comme l’assistant IA gratuit le plus avancé.
Comme nombre d’autres sociétés, Meta travaille aussi sur l’intelligence artificielle. Et bien que son modèle d’IA, baptisé Llama, ne soit pas aussi célèbre que GPT-4 d’OpenAI ou Gemini de Google, probablement parce qu’il est encore indisponible en Europe, il en est aujourd’hui à sa troisième génération.
Meta Llama 3 a été lancé le 18 avril 2024. Décrite par Meta comme une avancée majeure par rapport à Llama 2, cette nouvelle itération se décline en deux versions intégrant jusqu’à 70 milliards de paramètres (70b).
Par rapport aux autres modèles d’intelligence artificielle disponibles actuellement, Meta Llama 3 n’est peut-être pas le plus puissant ou polyvalent. En revanche, il présente deux avantages de taille : il est open source et accessible gratuitement. Voici tout ce qu’il faut connaître à son sujet.
L’évolution du modèle d’IA Llama de Meta
L’histoire du grand modèle de langage Llama commence en février 2023, lorsque Meta lance Llama 1. Cette génération est alors disponible en quatre versions différentes avec des paramètres allant de 7 à 64 milliards. Il est conçu pour être plus compact et facile à utiliser que des modèles comme GPT-3.5 (qui sous-tend ChatGPT), sans être moins performant. Las, Llama 1 n’est à l’époque disponible que pour les chercheurs.
Il a fallu attendre le lancement de Llama 2 (juillet 2023) pour que le modèle de langage devienne accessible au grand public. Cette génération est également open source et gratuite. En outre, le modèle d’IA a été entraîné sur 2 trillions de jetons, ce qui représente 40 % de données supplémentaires par rapport à Llama 1. Cela va se refléter logiquement dans la qualité des réponses et le doublement de la longueur du contexte.
Avec l’arrivée de Llama 3 en avril 2024, le modèle de langage de Meta devient encore plus intelligent et performant. Selon la firme, ses dernières avancées ont fait de Meta AI, son chatbot conversationnel, l’assistant le plus intelligent utilisable gratuitement. Elle ajoute par ailleurs qu’il est devenu plus rapide et amusant que jamais.
Le modèle d’IA a été entraîné avec plus de 15 trillions de jetons, soit sept fois plus de volume que les données utilisées pour entraîner Llama 2. Une partie des données est issue de sources publiques telles que Common Crawl (une archive de milliards de pages web), Wikipedia et des livres du domaine public du projet Gutenberg. Plus de 5 % seraient par ailleurs des données non anglophones, couvrant plus de 30 langues et chargées de préparer l’IA à de futures applications multilingues (Meta AI n’est disponible qu’en anglais à l’heure actuelle).
Enfin, Meta Llama 3 devient disponible dans un plus grand nombre de pays et à travers de nombreux produits de Meta. Comme ses prédécesseurs, il est toujours open source.
Que peut-on faire avec Meta Llama 3 ?
Meta Llama 3 existe en deux principales variantes : Llama 3 8b avec 8 milliards de paramètres et Llama 3 70b avec 70 milliards. Chacune est ensuite déclinée en version Instruct, un modèle affiné pour mieux suivre les instructions des humains. Ces modèles sont donc plus adaptés pour une utilisation en tant que chatbots.
Notez que, contrairement aux derniers modèles d’OpenAI et Google, Meta Llama 3 ne possède pas encore de capacités multimodales. Cependant, une version capable de raisonner à partir d’autres types de données (images, séquences vidéo, clip audio…) est en cours de développement. Elle devrait être lancée dans le courant de l’année 2024, tout comme une autre version avec 400 milliards de paramètres.
En attendant, voici des choses que vous permet de faire Llama 3 à travers Meta AI :
Faire travailler Meta AI pour vous Tel un assistant, Meta AI peut vous fournir toutes sortes d’informations utiles au quotidien, qu’il s’agisse d’un bon restaurant pour une sortie entre amis, des meilleures destinations pour une escapade le week-end, de réponses à un problème de mathématiques, et bien plus encore. Grâce à son plus grand nombre de paramètres, Llama 3 bénéficie d’une capacité accrue pour des réponses plus complexes et nuancées. Autre bonne nouvelle, vous pouvez désormais y accéder à partir d’un ordinateur via le nouveau site web Meta.ai.
Effectuer des recherches Dans les pays où il est disponible, Meta AI permet d’effectuer des recherches directement dans les applications de Meta, telles que Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger. L’intelligence artificielle vous fournit des informations en temps réel sur l’ensemble du web sans passer par une autre application. Notez que Meta AI sera également accessible dans le flux (votre fil d’actualité Facebook, par exemple) pour vous donner plus d’informations sur tout ce que vous voyez et qui vous intéresse.
Générer des images avec la fonctionnalité Imagine Grâce à Llama 3, Meta AI possède aussi des capacités de génération d’images à partir de descriptions textuelles. Contrairement aux générateurs d’image que nous connaissons jusqu’à présent, celui de Meta AI se distingue par le fait qu’on peut voir une image apparaître quand on commence à taper. Ensuite, cette image change toutes les quelques lettres tapées, ce qui octroie un aperçu de chaque modification. Autre fonctionnalité intéressante : vous pouvez demander à Meta AI d’animer une image existante, de lui donner un nouveau style ou même de la transformer en GIF. Cette fonctionnalité baptisée Imagine est proposée en version bêta sur WhatsApp et le site Web de Meta AI aux États-Unis.
Comment accéder à Meta Llama 3 ?
Comme indiqué plus haut, Meta Llama 3 est actuellement accessible gratuitement via Meta AI. Le chatbot est intégré dans différents produits de Meta tels que Facebook, Instagram, Messenger, WhatsApp, ainsi que la nouvelle application web dédiée Meta.ai.
Cependant, Meta AI n’est pour l’instant disponible qu’aux États-Unis, Afrique du Sud, Australie, Canada, Ghana, Jamaïque, Malawi, Nouvelle-Zélande, Nigeria, Pakistan, Singapour, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.
À moins d’utiliser un VPN (réseau privé virtuel), vous ne pouvez donc pas y accéder depuis la France. Sinon, vous pouvez aussi utiliser l’app multi-IA HuggingChat qui permet d’accéder aux meilleurs des grands modèles de langage, dont Llama 3 de Meta.
Petit à petit, l’assistant IA s’invite sur toutes les applications du groupe. Une avancée majeure pour certains… mais pas forcément du goût de tout le monde.
Vous cherchez à savoir comment désactiver Meta AI sur WhatsApp, et retrouver une expérience plus classique sur ces applications ?
Bien qu’il ne soit pas encore possible de la supprimer, les étapes à suivre pour réduire au maximum son apparition dans vos interfaces.
C’est quoi Meta AI ?
Meta AI est l’assistant d’intelligence artificielle développé par Meta et intégré à Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger. Ce chatbot fonctionne de manière similaire à ChatGPT et grâce à son modèle Llama 3, vous pouvez :
Rechercher des informations plus rapidement
Obtenir des suggestions personnalisées
Interagir avec l’IA dans les conversations
Générer du contenu (et bientôt des images)
Il apparaît sous la forme d’un cercle bleu et, bien qu’il puisse être utile, de nombreux utilisateurs le perçoivent comme intrusif, exprimant des inquiétudes quant à la protection de leurs données personnelles.
Meta active progressivement son outil IA sur ses plateformes WhatsApp, Facebook et Instagram et Messenger. Si vous ne l’avez pas encore, il sera bientôt disponible.
Comment désactiver Meta AI sur WhatsApp ?
Sur WhatsApp Meta AI apparaît directement dans vos discussions.
Et si vous ne trouvez pas comment désactiver Meta AI sur WhatsApp, c’est que pour le moment, il n’existe aucun moyen de supprimer entièrement l’IA de votre application.
Cependant vous pouvez minimiser sa présence. Voici les principales étapes à suivre :
Ne communiquez pas avec l’assistant IA. Le moyen le plus simple d’empêcher son activation est de ne pas appuyer sur l’icône Meta AI et de ne pas enclencher de discussion. Faites comme s’il n’existait pas là et n’interagissez pas avec le chatbot.
Supprimer ou archiver la conversation avec Meta AI. Si vous avez entamé une conversation avec l’assistant, dans ce cas, la seule chose à faire est de supprimer ou d’archiver le chat de Meta AI.
Sur Android: appuyez sur le chat Meta AI et maintenez-le enfoncé, puis sélectionnez l’option Supprimer ou Archiver.
Sur iOS : faites glisser la discussion vers la gauche et appuyez sur Supprimer ou Archiver.
N’oubliez pas que la suppression ou l’archivage de la discussion ne désactive pas WhatsApp Meta AI. Elle efface simplement l’historique de la conversation et la supprime de votre liste principale de discussions.
Voici d’autres conseils pour réduire la visibilité de Meta AI sur WhatsApp :
Évitez de mentionner @Meta AI dans vos conversations. L’assistant n’est actif que dans certains contextes.
Ignorez et signalez l’IA dans les conversations de groupe. Si Meta AI se faufile dans un groupe, il suffit de l’ignorer et de marquer l’interaction comme indésirable. Cela permet non seulement de réduire sa présence, mais aussi d’envoyer des informations utiles à Meta AI.
Désactivez les notifications. Dans certaines versions de WhatsApp, vous pouvez aller dans les paramètres et désactiver les notifications liées à l’IA.
Empêcher l’IA de Meta d’utiliser vos données
Depuis le 27 mai 2025, Meta exploite les contenus publics partagés par les utilisateurs européens sur Facebook, Instagram et Threads pour entraîner ses modèles d’intelligence artificielle Meta IA.
Si vous ne souhaitez pas que vos données soient utilisées à cette fin, vous pouvez toujours vous y opposer en remplissant un formulaire dédié, disponible dans le centre d’aide de Meta.
⚠️ Les contenus publiés avant la date butoir peuvent déjà avoir été utilisés par Meta AI (sauf bien sûr si vous aviez déjà rempli ce formulaire).
Rester vigilant face aux évolutions des plateformes et aux mises à jour des politiques de confidentialité reste la meilleure approche pour continuer de naviguer en toute sérénité.
Pour savoir comment accéder au formulaire directement depuis vos applications.
Comment empêcher l’IA de Meta de s’entraîner avec vos données ?
Si vous utilisez une application de Meta, comme Instagram ou Facebook, vous avez peut-être manqué la date limite pour empêcher l’IA de Meta d’utiliser vos données publiques.
🗓️ Petit rappel : Meta avait fixé cette date au 27 mai 2025.
Passé ce délai, vos contenus publics (posts, commentaires, légendes, etc.) peuvent déjà avoir été utilisés pour entraîner son intelligence artificielle, si vous n’avez entrepris aucune démarche pour vous y opposer.
⚠️ Bonne nouvelle : vous pouvez toujours remplir le formulaire d’opposition pour empêcher Meta d’utiliser vos futurs contenus.
Voici comment procéder, selon l’application que vous utilisez
Pour développer et améliorer ses modèles d’intelligence artificielle, Meta affirme ne pas utiliser vos messages et informations privés.
En revanche, elle se réserve le droit d’exploiter vos contenus publics, tels que :
➡️ Les publications, commentaires, légendes de photos, stories visibles publiquement et autres interactions accessibles à tous sur Facebook, Instagram et Threads.
Alors voici comment accéder au formulaire pour éviter cela à l’avenir :
Demande depuis Instagram
Pour empêcher Meta d’utiliser vos données Instagram pour entraîner son IA, suivez ces étapes sur l’application de votre téléphone :
Rendez-vous sur votre profil en appuyant sur votre photo en bas à droite.
Cliquez l’icône menu, les trois barres ≡ en haut à droite
Faites défiler jusqu’à Centre de confidentialité, puis cliquez dessus.
Cliquez sur le lien bleu du mot “opposer” dans le texte qui s’affiche (voir visuel)
Faites défiler la page et remplissez le formulaire qui s’y trouve à la fin avec votre adresse e-mail (de préférence celle de votre compte Meta) et validez.
Demande depuis Facebook
Si vous souhaitez le faire depuis votre compte Facebook, suivez ces instructions :
Ouvrez l’application Facebook.
Cliquez sur les trois lignes (menu) en haut à droite (Android) ou en bas à droite (iOS).
Descendez jusqu’à la section Paramètres et confidentialité et choisissez Centre de confidentialité
Cliquez sur le lien bleu du mot “opposer” dans le texte qui s’affiche (voir visuel)
Faites défiler la page et remplissez le formulaire qui s’y trouve à la fin avec votre adresse e-mail (de préférence celle de votre compte Meta) et validez.
Est-ce suffisant pour que l’IA de Meta ne s’entraîne pas avec vos données ?
Même si vous n’utilisez pas les services de Meta ou que vous n’avez pas de compte Instagram ou Facebook, il est possible que Meta dispose d’informations vous concernant et les utilise pour entraîner son IA si :
Une autre personne partage une photo où vous apparaissez.
Quelqu’un vous mentionne dans ses publications ou descriptions de photo.
Et si votre profil est privé, bien que la firme assure ne pas collecter de données issues des messages privés ou des publications restreintes à un cercle privé, la définition de ce qui est “public” peut varier selon les paramètres de confidentialité de chaque utilisateur.
Il est donc essentiel de bien vérifier vos réglages de confidentialité si vous souhaitez limiter l’usage de vos données.