Téléphonie mobile : fin de la 2G/3G, la 4G/5G bientôt obligatoire
Les opérateurs délaissent progressivement la 2G et la 3G au profit de la 4G et de la 5G, plus efficaces et plus sécurisées. Les vieux réseaux de téléphonie mobile fermeront définitivement d’ici à 2029, avec un passage obligé aux nouvelles normes.
Face aux besoins de plus en plus importants de leurs clients – notamment en data –, les opérateurs téléphoniques doivent sans cesse adapter leurs réseaux mobiles afin de proposer la meilleure connectivité possible partout sur le territoire. Le déploiement de la 4G et de la 5G est un enjeu crucial pour la France – spécialement pour réduire la fracture numérique, l’Hexagone étant couvert de façon assez inégale –, et les deux réseaux sont amenés à graduellement remplacer la 2G et la 3G. Déployée au début des années 90, la 2G a pourtant accompagné les premiers pas des téléphones portables, suivie par la 3G dix ans plus tard. Ces deux réseaux ont participé à l’envol des portables. Mais voilà que, plus de trente ans après sa création, la 2G est en train de vivre ses derniers mois, et la 3G ne tardera pas à la rejoindre. En effet, Orange avait annoncé l’année dernière la fermeture de ses réseaux 2G et 3G. C’est au tour de Bouygues Telecom, quelques jours seulement après SFR, de confirmer leur fermeture totale d’ici à 2029.
2G et 3G : la fin des réseaux d’ici à 2029
Dans un entretien accordé à l’Usine Digitale, Jean-Christophe Ravaux, le directeur marché BtoB de Bouygues Telecom, a indiqué que l’opérateur fermera ses réseaux 2G en 2026 et 3G en 2029. Quelques jours avant, SFR avait, lui aussi, présenté un calendrier assez similaire, avec une fermeture de ses réseaux 2G en 2026 et de ceux de la 3G en 2028. Un an auparavant, c’était Orange qui prévoyait la fin de la 2G pour 2025 et celle de la 3G en 2028. De son côté, Free vient de fermer son réseau 2G un an à peine après avoir entamé sa construction suite au renouvellement de son accord d’itinérance avec Orange jusqu’en 2025, comme le rappelle AlloForfait. Les fréquences que cela libérera seront réallouées à la 4G et à la 5G des différents opérateurs afin d’améliorer la qualité des services, notamment en décongestionnant un réseau déjà bien encombré, en pénétrant mieux dans les lieux clos et en couvrant davantage les zones rurales. Ils font donc le choix de se concentrer sur ces technologies de long terme, plus performantes et plus sécurisées en réutilisant la bande dite « basse » (900MHz) 2G/3G sur les réseaux 4G/5G.
Bien évidemment, la disparition de la 2G et de la 3G n’est pas sans conséquences. De nombreux objets connectés, comme des terminaux de paiement, des ascenseurs ou des compteurs, fonctionnent encore en 2G et en 3G, particulièrement dans l’automobile et la télémétrie. Toutefois, les quelques années de délai avant leur fermeture permettront aux entreprises de s’adapter et de modifier progressivement leurs équipements, de manière à être fins prêts lorsque la 2G et la 3G s’éteindront.
Pour les particuliers, les répercussions ne devraient pas être trop importantes. En effet, la grande majorité des Français est désormais connectée à la 4G ou à la 5G. Selon l’Arcep, 99 % de la population française est couverte par la 4G. Un pourcentage très encourageant… mais il ne faut pas confondre couverture de la population avec couverture du territoire, car il existe des zones blanches – c’est-à-dire non couvertes par un réseau mobile, même si leur nombre décroît considérablement. Les rares utilisateurs qui possèdent et emploient encore un mobile non compatible 4G ou 5G devront l’abandonner pour un modèle adapté s’ils veulent utiliser des services mobiles. Dans la mesure où les smartphones compatibles 2G/3G uniquement ne sont commercialisés depuis des années et compte tenu de la durée de vie moyenne des appareils mobiles, cette grande transition imposée vers la 4G/5G ne devrait pas poser trop de problèmes…
Code PUK : déverrouiller un téléphone bloqué sans code PIN
Vous avez oublié le code PIN de votre téléphone et votre mobile s’est bloqué après trois essais infructueux ? Vous pouvez facilement le déverrouiller avec le PUK. À condition de savoir où le trouver…
Les smartphones disposent tous de deux systèmes de protection pour éviter d’être utilisés par des personnes non autorisées. Le premier protège l’accès à l’appareil lui-même, plus exactement à ses fonctions essentielles (réglages et applications) et peut prendre plusieurs formes : un mot de passe combinant des chiffres et des lettres, un code uniquement numérique (code PIN, pour Personnal Identification Number ou numéro d’identification personnel en français), un schéma reliant des points sur une grille, une empreinte digitale ou encore un dispositif de reconnaissance faciale. Il n’est pas fourni par le constructeur : c’est à l’utilisateur de le définir lui-même lors de la première configuration. Le second protège uniquement l’accès à la carte SIM (Subscriber Identification Module, ou module d’identification de l’abonné, en français) et donc aux fonctions de téléphonie. Il n’a qu’une seule forme : un code PIN, formé de quatre chiffres. Et il est lié à l’opérateur qui correspond à la carte SIM ou eSIM, et au forfait associé. À la première utilisation de la carte, il faut utiliser le code PIN générique fourni par l’opérateur (souvent 0000, 1111 ou 1234) et le modifier aussitôt pour définir une série de chiffres plus personnelle. Il est possible de désactiver le contrôle de ce code à l’allumage du téléphone, mais ce n’est pas recommandé. Car si le smartphone est perdu ou volé, n’importe qui peut l’utiliser pour téléphoner…
Donc, sauf quand ce code est désactivé, il faut saisir manuellement ce code PIN au moins chaque fois qu’on allume le téléphone. Seulement voilà, il arrive que l’on se trompe en le tapant un peu trop vite ou même qu’on l’oublie purement et simplement – quand on n’a pas éteint complètement le téléphone depuis des semaines ou des mois, par exemple. Et là, il peut y avoir un gros problème. Car après trois essais infructueux avec un mauvais code PIN, le téléphone se bloque. Et pour le débloquer, il faut utiliser un autre code spécial : le PUK.
C’est quoi un code PUK ?
PUK est l’acronyme de Personal Unblocking/Unlocking Key ou PIN Unblocking/Unlocking Key, selon les versions, que l’on peut traduire par « clé de déverrouillage de numéro personnel d’identification ». On le trouve aussi parfois – rarement – sous l’appellation CPD, pour clé personnelle de déverrouillage. En pratique, il s’agit d’un code numérique composé généralement de huit chiffres – quelquefois moins –, de la forme 12345678. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un code de secours permettant de débloquer un téléphone verrouillé. Plus exactement, il permet de débloquer la carte SIM insérée dans l’appareil (ou une carte « virtuelle » au format eSIM) après trois saisies erronées du code PIN associé (voir plus haut). On peut le considérer comme une seconde chance – la dernière… – offerte aux maladroits et aux étourdis.
Chaque carte SIM dispose ainsi d’un code PUK particulier – qui ne s’utilise pas avec une autre carte SIM. Contrairement au code PIN, on ne peut pas changer le code PUK associé à une carte SIM : c’est l’opérateur téléphonique (Orange, Bouygues, Telecom, Free Mobile, SFR, etc.) qui l’attribue une fois pour toutes. Et, là encore, il ne faut pas se tromper quand on le saisit pour débloquer un téléphone : car après dix essais erronés – le nombre carie selon l’opérateur –, la carte SIM se verrouille complètement… La carte SIM devient définitivement inutilisable et il faut la renouveler auprès de l’opérateur mobile, ce qui occasionne des frais de remplacement (généralement de 10 euros). Et bien évidemment, tant que carte SIM n’est pas débloquée avec son code PIN ou son code PUK, impossible de passer ou de recevoir des appels et SMS.
Où trouver le code PUK ?
On l’a dit : un code PUK ne s’invente pas et ne se personnalise pas. C’est l’opérateur téléphonique qui en associe un spécifique à chaque carte SIM (ou eSIM) qu’il commercialise. Et, bien entendu, il le fournit à chacun de ses clients ! En principe, le code PUK associé à une carte SIM est indiqué à deux endroits : sur le contrat et sur le support de la carte SIM. Vous devez donc trouver le document principal que votre opérateur vous a envoyé à la souscription du forfait, document qui comporte aussi le numéro de la ligne téléphonique et les instructions d’activation de la carte SIM. Vous devez également trouverez le code PUK sur le support plastique qui entoure la carte SIM – la carte au format carte de crédit dans laquelle est prédécoupée la carte SIM au format mini, micro ou nano SIM. Un bon conseil : ne jetez jamais ce support après avoir découpé votre carte SIM ! Et conservez tout aussi précieusement le document envoyé par votre opérateur : on ne sait jamais…
au format micro ou mini. Si vous n’avez plus accès à ces documents, il existe heureusement d’autres solutions pour récupérer le code PUK et vous permettre (enfin !) de débloquer la carte SIM.
Comment récupérer un code PUK ?
Si vous avez perdu ou jeté le contrant de votre forfait ou le support de votre carte SIM, il vous reste un ultime moyen de récupérer le code PUK pour débloquer votre téléphone : contacter votre opérateur, le seul à connaître le code associé à votre carte SIM (ou eSIM).
► La meilleure solution est de passer par votre espace client, sur le site de l’opérateur depuis un autre mobile ou un ordinateur relié à Internet. Munissez-vous de l’identifiant et du mot de passe associés à votre compte et connectez-vous. Bien entendu, chaque opérateur ayant sa propre logique, vous ne trouverez pas le code PUK systématiquement au même endroit.
Code PUK chez Orange ou Sosh
Accédez à votre espace client Orange ou Sosh
Chez Orange ou Sosh, il est très simple de récupérer son code PUK. Connectez-vous à votre espace client, indiquez votre numéro de ligne mobile et votre mot de passe pour accéder à votre compte : le code PUK associé s’affiche immédiatement !
Code PUK chez Free Mobile
Accédez à votre espace client Free
Chez Free Mobile, allez dans la rubrique Mes informations, puis dans Mon code PUK, et cliquez sur Cliquez ici pour obtenir votre code PUK pour le recevoir immédiatement par mail, à l’adresse que vous avez associée à votre compte.
Code PUK chez Bouygues Telecom
Accédez à votre espace client Bouygues Telecom
Chez Bouygues Telecom, allez dans la rubrique Mon mobile, puis cliquez sur le bouton Urgences et dépannage. Dans la section Un problème avec votre carte SIM (ou eSIM) ?, cliquez ensuite sur Gérer ma carte SIM (ou eSIM). Sur la page suivante, cliquez sur Code PUK. Le code PUK associé à votre carte SIM s’affiche directement sur le site après quelques secondes.
Code PUK chez SFR et RED
Accédez à votre espace client SFR ou RED
Chez SFR ou RED by SFR, allez dans la rubrique Offre et Mobile, puis dans Mobile, et enfin dans Urgences & dépannage. Cliquez sur Récupérer votre code PUK. Le code s’affiche aussitôt à l’écran.
► Vous pouvez également retrouver le code PUK de votre carte SIM en utilisant l’appli spécifique à votre opérateur. Hélas, comme, généralement, elle est installée sur le mobile qui est justement bloqué, cette méthode est moins pratique que d’autres… Mais vous pouvez toujours l’installer sur un autre appareil (téléphone ou tablette) et vous connecter à votre compte avec votre identifiant et votre mot de passe. Là encore, le chemin pour retrouver le code varie d’une appli et d’un opérateur à l’autre. Chez SFR, par exemple, une fois connecté dans l’application, il faut aller dans la section Assistance mobile, puis dans FAQ, et sélectionner Débloquer votre carte SIM pour voir le code PUK s’afficher.
► Autre possibilité, appeler le service client de votre opérateur par téléphone, en utilisant une ligne fixe ou un autre téléphone mobile. Évidemment, pour éviter les fraudes – notamment en cas de vol du téléphone –, un contrôle est nécessaire. Et la méthode varie selon l’opérateur. Chez Orange, par exemple, il s’effectue avec un code confidentiel figurant sur la facture du mobile à débloquer. La procédure s’effectue via un robot vocal : il faut appeler le service au 0 800 100 740, saisir le numéro de téléphone de la carte SIM à débloquer, sélectionner l’option Obtenir votre code PUK et saisir les quatre chiffres du code confidentiel pour récupérer le code PUK, qui est donné oralement.
Voici les numéros des services d’assistance des principaux opérateurs mobiles en France.
► Dernière solution, valable uniquement chez certains opérateurs : se rendre dans une boutique dédiée et demander l’assistance d’un vendeur-conseiller. Là encore, il vous faudra montrer patte blanche en présentant au minimum une pièce d’identité et en apportant le téléphone bloqué afin qu’il soit déverrouillé sur place.
Comment utiliser un code PUK ?
Une fois que vous avez trouvé ou récupéré le code PUK associé à votre carte SIM, vous devez le saisir, mais aussi redéfinir un nouveau code PIN pour débloquer votre téléphone. La procédure peut légèrement varier selon le modèle de votre mobile, son système d’exploitation et la langue utilisée, mais elle reste très simple dans tous les cas.
► En général, après trois saisies erronées du code PIN, un message indiquant Cette carte SIM est actuellement verrouillée, Saisir code PUK, Code PUK, PUK ou une formule équivalente s’affiche sur l’écran du mobile.
► Dans le champ Code de déblocage, PUK ou Code PUK qui apparaît alors, saisissez le code PUK associé à votre carte SIM et validez si c’est demandé.
► Une fois le code PUK saisi, définissez un nouveau code PIN dans le champ idoine et confirmez-le avec une deuxième saisie dans le champ contigu. Pensez à le notez dans un endroit sûr – pas sur le téléphone !
► La carte SIM se débloque et vous avez enfin accès aux fonctions de téléphonie.
Comment saisir un code PUK avec une séquence de touches ?
Il arrive parfois que la carte SIM soit bloquée mais qu’aucun message d’erreur ne s’affiche sur l’écran du téléphone. Il est alors impossible de saisir le code PUK directement pour le débloquer. Il existe encore une ultime solution pour forcer la saisie du code, en utilisant une séquence de touches qui fonctionne sur tous les modèles, quelle que soit leur marque.
► Sur l’appareil bloqué, affichez le clavier numérique pour composer un numéro de téléphone. Il faut parfois passer par le mode d’appel d’urgence, qui est en principe toujours disponible.
► Une fois le clavier numérique affiché, tapez la séquence touches suivantes : **05*KKKKKKKK*PPPP*PPPP#, en remplaçant KKKKKKKK par votre code PUK et PPPP par le nouveau code PIN que vous souhaitez attribuer à votre carte SIM. Par exemple, si le code PUK est 12345678 et le code PIN est 9090, tapez **05*12345678*9090*9090#. Il n’y a rien à valider, tout se fait en une seule séquence qui démarre par ** et qui finit par #.
Il vous réserve parfois une très mauvaise surprise
25 juin 2025
Ne négligez surtout pas les mails que vous recevez régulièrement de votre opérateur mobile ou de votre fournisseur d’accès à Internet : certains messages vous informent d’un changement très désagréable.
Comme tout le monde, vous recevez régulièrement des mails provenant de de votre opérateur mobile ou de votre fournisseur d’accès à Internet. Si la plupart concernent votre consommation et vos factures, certains correspondent à des offres commerciales avec, par exemple, des promotions pour un nouveau smartphone ou des services supplémentaires. Des informations tellement récurrentes – et souvent inintéressantes – que vous finissez par ne plus y prêter attention. Au point de ne même plus ouvrir ces messages. Et c’est précisément là que se situe le piège.
Car entre ces mails habituels, se glissent parfois des messages vraiment importants. Et pour cause : ils vous informent d’un changement de tarif. Et jamais pour une baisse, évidemment ! Il s’agit toujours d’une hausse de votre abonnement, généralement de quelques euros par mois. Sauf que l’intitulé du mail l’affiche rarement de façon claire. En général, l’augmentation du prix est associée à une modification du service qui sert de paravent. Ainsi, les opérateurs de téléphonie mobile vous informent que ‘votre forfait s’enrichit’, et que vous allez bénéficier d’une plus grande enveloppe de data, en passant de 80 à 100 Go, par exemple. Sauf que ce joli cadeau, dont vous n’avez pas forcément besoin, mais bien mis en avant, s’accompagne d’une hausse de tarif. Dont vous vous passeriez bien et que vous ne pouvez pas toujours refuser !
Orange, Bouygues Telecom et SFR et leurs filiales low cost respectives ‑ Sosh, B&You et RED –sont les grands spécialistes de ce genre d’évolution, avec des augmentations de 1, 2, 3 ou 4 euros par mois sur leur forfait. Et les opérateurs virtuels qui s’appuient sur leurs réseaux (les MVNO comme on les appelle) comme Cdiscount Mobile, NRJ Mobile ou Auchan Telecom ont également adopté cette pratique. Sans compter que ces augmentations concernent aussi des abonnements à Internet.
Le dernier exemple en date est tout récent : dans un mail adressé le 24 juin 2025 à certains de ses abonnés, B&You – donc Bouygues Telecom– annonce une hausse de 2 euros par mois au prétexte d’avantages discutables comme un service client dédiés, des gigas en plus en Europe ou de la 5G… déjà comprise dans le forfait ! Comme souvent, l’augmentation de prix est automatiquement appliquée. Fort heureusement, il est possible cette fois de la refuser – ce n’est pas toujours le cas, mais à condition de réagir vite en cliquant sur le lien inclus pour décliner ce superbe « cadeau ». Encore faut-il lire le mail, qui risque fort de passer inaperçu.
L’ennui, c’est que cette pratique est parfaitement légale. L’article L.224-33 du Code de la consommation autorise en effet les opérateurs de télécoms à augmenter leurs tarifs quand ils le souhaitent, à condition d’en informer leurs clients au moins un mois à l’avance et de leur laisser la possibilité de résilier sans frais leur abonnement dans les quatre mois suivant cette notification. Dans le meilleur des cas, de plus en plus rare hélas, vous pouvez conserver l’ancien tarif, en effectuant vous-même une action spécifique dans votre espace client.
Mais la plupart du temps, vous n’avez désormais que deux solutions : accepter l’augmentation ou changer d’opérateur. Quoi qu’il en soit, ne négligez surtout pas les mails de votre opérateur, même quand ils paraissent « inoffensifs » et attractifs : ils pourraient bien vous coûter cher si vous ne réagissez pas rapidement !
Comment démarrer votre téléphone ou tablette Android en mode sans échec
Sur votre PC Windows, vous pouvez démarrer en « Mode sans échec » pour charger le système d’exploitation sans aucun logiciel tiers. Vous pouvez faire de même avec le mode sans échec d’Android. Il peut s’agir d’un outil utile pour dépanner la source des problèmes.
Cela vous permet de dépanner votre appareil : si vous rencontrez des plantages, des blocages ou des problèmes d’autonomie de la batterie, vous pouvez démarrer en mode sans échec et voir si les problèmes s’y produisent toujours. À partir du mode sans échec, vous pouvez désinstaller les applications tierces qui se comportent mal.
Qu’est-ce que le mode sans échec sur Android ?
Le « mode sans échec » est un mode de diagnostic spécial qui exécute le système d’exploitation Android avec les applications tierces désactivées. Essentiellement, seules les applications et les services préinstallés sur le téléphone seront disponibles en mode sans échec. La même chose peut être faite sur un PC Windows ou Mac.
Cela vous permet de dépanner votre appareil. Si vous rencontrez des plantages, des blocages ou des problèmes d’autonomie de la batterie, vous pouvez démarrer en mode sans échec et voir si les problèmes se produisent toujours. Si vous remarquez que tout fonctionne correctement en mode sans échec, cela signifie probablement que la source du problème est une application tierce.
Comment démarrer en mode sans échec sur Android
Pour démarrer en mode sans échec sur Android, il vous suffit d’appuyer longuement sur l’option « Éteindre » dans le menu d’alimentation. Vous verrez alors une invite pour redémarrer en mode sans échec. La façon dont vous accédez au menu d’alimentation peut varier selon l’appareil. Dans la plupart des cas, vous pouvez simplement appuyer et maintenir le Bouton d’alimentation physique pour afficher le menu Alimentation.
Cependant, certains appareils utilisent l’appui long sur le bouton d’alimentation pour d’autres choses, comme Google Assistant. Si c’est le cas sur votre téléphone, vous pouvez également appuyer sur le bouton d’alimentation dans le menu Paramètres rapides. Balayez une ou deux fois vers le bas depuis le haut de l’écran pour révéler le bouton d’alimentation.
Dans le menu, maintenez enfoncé le bouton « Éteindre ».
Vous verrez maintenant la possibilité d’appuyer sur le bouton « Mode sans échec » ou d’appuyer sur « OK » pour démarrer en mode sans échec.
Le téléphone redémarrera en mode sans échec, qui a généralement la même apparence que d’habitude, mais vous verrez du texte dans le coin de l’écran indiquant « Mode sans échec ». Toutes les applications qui n’étaient pas préinstallées sur l’appareil ne seront pas disponibles, y compris les lanceurs d’écran d’accueil tiers.
C’est tout ce qu’il y a à faire ! Lisez la suite pour savoir comment sortir du mode sans échec.
Comment désactiver le mode sans échec sur Android
Pour désactiver le mode sans échec et revenir au mode normal, il vous suffit de redémarrer votre appareil Android. Lorsque vous redémarrez à partir du mode sans échec, vous revenez au mode d’exécution normal.
Votre téléphone va redémarrer en mode de fonctionnement normal ! Toutes vos applications habituelles seront à nouveau disponibles, bien que vous puissiez remarquer quelques bizarreries avec le rechargement des widgets et des choses de cette nature. Le mode sans échec est un bon point de départ si vous rencontrez des problèmes ennuyeux sur votre appareil Android.
Oubliez ce geste courant quand vous utilisez votre téléphone. Contrairement à ce que vous croyez, il fait plus de mal que de bien.
Comme de nombreux utilisateurs, vous lancez régulièrement les mêmes applis sur votre smartphone. Mail, SMS, WhatsApp, appareil photo, Galerie, navigateur Web, etc. Et elles restent généralement ouvertes en arrière-plan lorsque vous utilisez une autre appli. Et quand le smartphone rencontre un petit coup de mou, qu’il devient moins réactif, votre premier réflexe consiste probablement à fermer celles qui vous paraissent inutiles sur le moment. De la même façon, quand la batterie commence à faiblir, vous vous empressez sûrement de quitter les applis lancées mais inutiles. Un réflexe qui semble plein de bon sens mais qui pourtant ne sert strictement à rien. Pire, il est même contre-productif non seulement pour la fluidité de votre smartphone mais aussi pour sa batterie.
Lorsque vous passez d’une appli à l’autre, celle qui se place en arrière-plan est tout simplement mise en veille. Elle ne consomme plus d’énergie et ne tire donc pas sur la batterie. De la même façon, elle n’exploite pas non plus les ressources disponibles sur le smartphone. Lorsque vous faites défiler les fenêtres des applis placées en arrière-plan, l’image qui s’affiche n’est rien d’autre qu’un instantané, une sorte de capture d’écran, de l’état dans lequel se trouvait l’appli au moment de la bascule. Rien d’autre. Et qu’il s’agisse d’un smartphone Android ou d’un iPhone, le principe demeure rigoureusement identique.
Le pire avec ce réflexe, c’est qu’il est aussi contre-productif. En quittant l’appli en veille et en la relançant, votre smartphone consomme plus d’énergie que le simple fait de la sortir de son état de veille. De nombreux processus sont réinitialisés lors de la phase de lancement alors qu’ils sont simplement réactivés lorsque vous rebasculez l’appli au premier plan. Et vous perdez en autonomie comme en performances ! Si votre smartphone commence à ralentir, le mieux consiste à le redémarrer. Et si sa batterie vient à montrer des signes de faiblesse et que vous ne pouvez pas le recharger dans l’instant, baissez la luminosité de l’écran, l’un des éléments les plus énergivore sur smartphone.
Le téléphone Android ne se charge pas ? Essayez ces correctifs !
Publié le 10 avr. 2024
Votre téléphone Android refuse-t-il de se charger ? Pas de panique. Les solutions sont à portée de main ! Il s’agit d’un problème assez courant sur les téléphones Android, et il existe généralement une solution assez courante.
Pourquoi votre téléphone Android ne se charge-t-il pas ?
Comme pour la plupart des choses technologiques, les problèmes de charge peuvent provenir du matériel ou des logiciels. Cependant, dans les téléphones Android, il est généralement causé par des chargeurs ou des prises de courant défectueux. Certaines parties du chargeur ont peut-être été endommagées, empêchant le téléphone de se charger. Des problèmes matériels dans des pièces telles que le port de charge peuvent également être à l’origine du problème de charge. Bien que rare, le problème peut également être lié au logiciel. Il se peut que le téléphone rencontre un problème système ou qu’il y ait trop d’applications qui se chargent.
Comment faire charger votre téléphone Android
Maintenant que vous savez pourquoi votre téléphone Android ne se charge pas, essayez ces correctifs pour que votre téléphone Android se recharge à nouveau. Commençons !
Redémarrez votre téléphone
La première chose à faire face à un problème ou à un bug Android est de redémarrer votre téléphone. Le redémarrage efface la mémoire et ferme les applications d’arrière-plan, donnant à votre téléphone un nouveau départ.
Pour redémarrer votre téléphone, appuyez sur le bouton d’alimentation sur le côté de votre téléphone jusqu’à ce que vous voyiez le menu d’alimentation Android. Appuyez sur le bouton « Redémarrer ».
Attendez que votre appareil s’éteigne, puis se rallume. Branchez le téléphone et il devrait commencer à se charger. Si votre appareil n’affiche pas le menu d’alimentation lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation,
Vérifiez votre adaptateur secteur et votre câble.
Jetez un coup d’œil à votre adaptateur et à votre câble. L’adaptateur est-il endommagé, brûlé ou cassé ? Votre câble est-il effiloché ou coupé sur les bords ? Ces dommages peuvent les empêcher de charger correctement votre téléphone. Essayez de charger votre téléphone avec un autre chargeur. S’il commence à se charger, c’est votre adaptateur ou votre câble qui pose problème. Testez les différentes pièces pour voir laquelle est défectueuse, puis remplacez-les.
Vérifiez la prise de courant
Si vous n’obtenez toujours pas de réponse avec un autre chargeur, essayez une autre prise de courant. Il se peut qu’il y ait des problèmes avec la prise sur laquelle votre téléphone est branché. Si vous êtes connecté à une banque d’alimentation ou à un port USB d’un ordinateur et que votre téléphone ne se charge pas, branchez-vous sur une prise de courant. Parfois, les banques d’alimentation et les ports USB d’ordinateur chargent les téléphones très lentement, ce qui peut donner l’impression qu’ils ne sont pas en charge.
Vous pourriez également Chargez votre appareil sans fil, si votre téléphone dispose cette fonctionnalité.
Retirez la coque de votre téléphone
Des étuis de téléphone épais peuvent empêcher le chargeur d’être complètement branché sur le port de charge. Vous pouvez vérifier en chargeant simplement le téléphone sans l’étui. Si le téléphone se charge, vous savez que c’est l’étui qui pose problème. Un étui peut également causer des problèmes de charge sans fil. Si le boîtier est trop épais, il peut ralentir la charge, et certains matériaux peuvent bloquer complètement la charge.
Vérifiez votre port de charge
Vérifiez que votre port de charge n’est pas endommagé, qu’il n’y a pas d’objets coincés et de poussière. S’il y a de la poussière, soufflez avec une bombe d’air comprimé dans l’orifice pour l’enlever. Si des objets coincés sont présents, utilisez soigneusement un cure-dent pour les déloger si vous le pouvez.
Si le port de charge est endommagé ou si vous ne pouvez pas retirer l’objet, apportez votre téléphone à un centre de réparation. Ils peuvent le réparer.
Mettez votre téléphone en mode sans échec
Mettre votre téléphone en mode sans échec démarre le téléphone Android sans exécuter d’applications tierces. Cela vous aidera à dépanner et à vérifier si le problème de charge provient d’une application tierce que vous avez installée.
Pour démarrer votre téléphone en mode sans échec, balayez vers le bas depuis le haut de l’écran pour afficher les paramètres rapides. Appuyez sur le bouton d’alimentation et maintenez-le enfoncé pour obtenir l’option de mode sans échec.
Lorsque votre téléphone est en mode sans échec, toutes les applications tierces seront grisées et inaccessibles. Maintenant, branchez votre téléphone et vérifiez s’il se charge. Si c’est le cas, les applications tierces sont responsables du bogue. Quittez le mode sans échec et désinstallez toutes les applications nouvellement installées.
Pour désinstaller une application, maintenez simplement l’application enfoncée sur l’écran d’accueil, puis cliquez sur « Désinstaller ». Vous pouvez également désinstaller plusieurs applications à la fois à l’aide du Google Play Store.
Confirmez qu’il ne s’agit pas d’un problème d’écran
Charger votre téléphone lorsque sa batterie est morte devrait faire s’allumer l’écran avec une icône de batterie. Si votre écran ne s’allume pas lorsque vous le branchez, vous devez confirmer que le problème ne provient pas d’un écran endommagé avant de dépanner la batterie ou le port de charge.
Vérifiez votre écran pour vous assurer qu’il n’est pas fissuré ou rempli d’encre. Si tout va bien, essayez d’appeler votre téléphone. Vous pouvez le faire à partir d’un autre téléphone ou avec Trouver mon appareil. Si votre téléphone sonne, votre téléphone n’est pas mort. Il est en charge, mais l’écran est mauvais. Vous devez apporter votre téléphone à un centre de réparation pour faire réparer votre écran.
Laissez votre téléphone sécher s’il est mouillé
Certains téléphones peuvent savoir si l’appareil est mouillé ou s’il contient de l’humidité. Pour éviter les problèmes, il arrive que le téléphone cesse de se charger jusqu’à ce qu’il soit sec. Laissez votre téléphone à l’extérieur pour qu’il vous sèche pendant un moment. Lorsqu’il est complètement sec, vous pouvez commencer à le charger. Mais, ne mettez pas votre téléphone dans un bol de riz.
Éteignez votre téléphone et laissez-le se charger
Si tout échoue, éteignez votre téléphone et laissez-le se charger. Parfois, la charge peut être lente.
En l’éteignant, vous vous assurez que le téléphone se recharge sans qu’aucun processus ou application ne prenne le pouvoir. Vérifiez votre téléphone au bout d’une heure et vous devriez remarquer un changement dans le pourcentage de votre batterie si tout fonctionne comme il se doit.
Apportez le téléphone à un centre de réparation
Si votre téléphone ne se charge toujours pas, il s’agit probablement d’un problème matériel. Apportez votre téléphone Android à un centre de réparation agréé pour le faire vérifier et réparer. Attention toutefois à ce que la réparation n’annule pas la garantie de votre téléphone. Les batteries sont l’une des parties les plus volatiles d’un téléphone. Alors que la plupart des composants ne « vieillissent » pas beaucoup avec le temps, les batteries et les ports de charge subissent beaucoup de dommages.
Vous avez l’habitude de laisser le chargeur de votre téléphone branché sur la prise électrique même quand vous ne l’utilisez pas pour charger ? Voici ce que cela vous coûte sur la facture d’électricité.
Comme tout le monde ou presque de nos jours, vous avez probablement un ou plusieurs chargeurs chez vous pour recharger des téléphones, des tablettes, des écouteurs, des enceintes sans fil ou encore des montres connectées. Et pour éviter les manipulations, vous les laissez peut-être branchés en permanence sur des prises électriques pour que le câble USB puisse être rapidement connecté à vos appareils quand vous avez besoin de les recharger. C’est tellement plus pratique !
Mais voilà : même quand ils ne sont pas utilisés pour la recharge, les chargeurs consomment de l’électricité, simplement en étant branchés. Et au fil des jours, des semaines et des mois, cette consommation « résiduelle » – et totalement inutile – finit par chiffrer. Et elle s’ajoute aux autres consommations sur votre facture d’électricité.
La question qui se pose alors est à combien s’élève exactement cette consommation. Ou, de façon plus pragmatique, combien cela coûte-t-il par an de laisser un chargeur branché dans la prise quand aucun téléphone n’est en charge.
En fait, pas grand-chose. Mais tout dépend de l’année de fabrication du chargeur et des normes qu’il respecte. En effet, une directive de l’Union européenne impose des exigences à l’électronique vendue dans l’UE, y compris la quantité d’électricité qu’un chargeur peut consommer lorsqu’il n’est pas utilisé. Si le chargeur est de 2010, la consommation en veille peut atteindre 0,5 W. De 2011 à 2022, elle doit être limitée à 0,30 W maximum. Tandis qu’après 2022, elle ne doit pas dépasser 0,10 W.
Si l’on prend le cas d’un chargeur récent, d’après 2022 qui fonctionnerait 24 heures sur 24 sans être utilisé ; sa consommation pendant un an (365 jours) s’élève à 0,1 x 24 x 365 soit 876 Wh (soit 0.876 kWh). En se basant sur le tarif Bleu d’EDF, de 25 centimes par kWh, cela fait 0.876 x 25 centimes, soit 22 centimes. Un coût dérisoire, donc !
Avec un chargeur produit entre 2011 et 2022, la consommation annuelle monte à 2,6 kWh soit 65 centimes, ce qui est encore très faible. Et avec un modèle de 2010, la consommation atteint 4,3 kWh soit 1,1 euro par an. Pas de quoi se ruiner donc ! Mais attention, si le tarif de l’électricité vient à grimper, ces coûts augmentent. Par exemple si le kWh passe à 50 centimes, il faudra multiplier tous ces montants par 2.
Enfin, si vous avez un très vieux chargeur, datant d’avant la directive de l’UE, la consommation en veille peut être considérablement plus élevée. Ainsi, on trouve encore des chargeurs consommant 0,75 W voire 1 W ou plus, ce qui entraine un coût annuel de plus de 1,6 euro. Certes, ce n’est toujours pas énorme, mais si vous en avez plusieurs que vous laissez branchés en permanence, cela finir par représenter une somme inutilement dépensée. Sans parler du gâchis d’énergie pour la planète.
Dans tous les cas, il vaut mieux débrancher un chargeur quand on ne l’utilise pas, car il s’use imperceptiblement et il peut entraîner un incendie en cas de dysfonctionnement. C’est particulièrement vrai avec les chargeurs sans marque à bas prix vendus sur Amazon, Temu, AliExpress ou Wish par exemple : la plupart de ces appareils sont de très mauvaise qualité, sans respect des normes européennes, malgré la présence d’autocollant ou de mention CE.
Le RCS n’est pas encore déployé complètement et n’est pas compatible avec les anciens appareils.
En matière de télécommunications, un nouveau protocole baptisé RCS est mis en œuvre peu à peu sur les smartphones et pourrait remplacer les SMS et MMS.
Quelle différence et quels changements pour les abonnés ?
Le RCS (pour « rich communication service ») est un nouveau protocole de messagerie sur les smartphones qui permet de prendre en charge du texte sans limite de longueur (contrairement aux SMS limités à 160 caractères) et d’envoyer des contenus multimédias en haute définition ou animés.
• La possibilité de créer des groupes de conversation
Il offre également la possibilité de créer des groupes de conversation (comme sur WhatsApp) et de passer des appels vidéo. La sécurité est assurée par un chiffrement de toutes les discussions.
Contrairement à WhatsApp, Messenger ou Telegram, le RCS a été développé à l’initiative de la GSMA, une association internationale de professionnels de la téléphonie mobile. Il ne nécessite pas de téléchargement et est accessible directement sur le téléphone mobile. En outre, aucune donnée utilisateurs ne transite sur des serveurs d’entreprises privées.
• Par internet et pas par le réseau mobile
Ce protocole est accessible sur iPhone XR ou ultérieur et sur Android à partir de la version 5.0. Les principaux opérateurs de téléphonie gèrent le RCS (Orange, SFR, Bouygues Télécom et Free mobile), mais ce n’est pas toujours le cas des fournisseurs alternatifs – comme La Poste Mobile, qui ne le propose pas à l’heure actuelle. Sur les nouveaux modèles, l’option est souvent activée par défaut – d’ailleurs, il est possible de l’utiliser sans s’en rendre compte. Il est toutefois repérable dans la barre de messagerie qui indique “Message RCS”.
À noter que la particularité du RCS est qu’il ne transite pas par le réseau mobile, contrairement aux SMS, mais par une connexion internet (4G, 5G ou Wi-Fi). Ainsi, une enveloppe de data peut s’avérer nécessaire ; attention donc à la consommation de données, en particulier à l’étranger, car elle peut faire grimper la facture en cas de dépassement.
• Est-ce la fin du SMS ?
Bien que l’usage du SMS soit en déclin, il ne devrait pas disparaître. En effet, le RCS n’est pas encore déployé complètement et n’est pas compatible avec les anciens appareils. De plus, l’usage du SMS demeure très utile dans certaines circonstances – zones dépourvues d’accès à internet, envoi de code de sécurité par les banques… –, sans compter que tous les abonnés ne sont pas toujours pourvus d’une couverture data suffisante. Le SMS reste donc indispensable pour les personnes qui disposent d’un forfait limité.
Enfin, pour désactiver le RCS et conserver le système des SMS-MMS, il suffit d’ouvrir l’application “Messages”, cliquer sur l’icône de profil en haut à droite, se rendre dans les paramètres, cliquer sur “Chats RCS” et désactiver l’option.
Publier par la Chambre de consommation d’Alsace et du Grand Est site internet : www.consommer-aujourdhui.fr